Quelques commentaires après parution :
“... Le texte est splendide et votre voix le « défend » si bien !
Le travail du peintre et du musicien est à l’avenant : un accompagnement fervent, authentique.
Et puis, quelle aventure que l’histoire de cet « objet » lyrique ! J’en suis heureux pour vous.”
Abdellatif LAÂBI, poète, Prix Goncourt de la poésie 2009.
“C'est très intéressant, sensible, sensuel, intelligent et ça suit tout à fait la démarche que je tente de réaliser depuis toujours..."
Didier LOCKWOOD, musicien.
“... La musique est formidable. Les compositions sont très intéressantes. Et tu chantes super.
Emmanuel Bex joue magnifique ainsi que Simon Goubert, un timing très relax à la Elvin Jones.
Et les aquarelles sont si belles...”
Philip CATHERINE, musicien.
“J'ai pu voir / écouter tout à loisir... Avec tout le plaisir que tu peux imaginer...”
Marcel BENABOU, écrivain,
Secrétaire “définitivement perpétuel” de l’OULIPO.
“J’ai beaucoup aimé ta mélusine. Ta proposition d'un érotisme poétique me plaît, lui qui est une des bases de notre désir de vivre et de faire : "ne pas mourir au désir" comme le faisait direWagner à Tristan. J'ai également apprécié le raffinement des arrangements et la précision de la réalisation.”
Thibault LAM QUANG, musicien,
Chef de choeur, Temperamens Variations.
“... C'est magnifique. J'aime ta voix, comme j'aime ta voie, celles que tu as choisies pour mélusine. Je n'oserais ajouter : continue, tant ce travail a dû tout exiger de toi. Merci.”
Yves RAYNAUD, graphiste.
“... Alors ? Je monte dans le train et ce qui domine, c'est l'émerveillement devant l’incroyable précision, la persévérance inlassable que tu déploies pour traquer chaque accord, chaque mise en perspective, pour créer l'écrin idéal pour cette pierre précieuse que tu polis avec une patience d'orfèvre.
Et au-delà de la forme, je renoue avec ce qui m'a toujours touchée au plus profond dans ton écriture et dans ta vie : cette puissance de transformation du réel, cette résistance farouche devant le terne et l'ordinaire, cette capacité à aller chercher le vibrant de la vie.
Tu gardes le pont, même si je ne sais pas très précisément de quel pont il s'agit, ni où il mène, mais il est important pour moi que tu le gardes. Merci donc.
Annie CHAMBON, psychanalyste.
“Je pense que la voix des poètes est trop peu entendue.
Si Hölderlin se trouvait déjà autorisé à railler « mais en ces temps à quoi bon des poètes ! », il me semble qu’il aurait été aujourd’hui condamné plus prématurément encore au silence et à la folie.
Il y a dans l’œuvre d’emmanuelle k. cette authenticité qui tend désormais à disparaître au profit de l’effet. Nous sommes ici à contre-courant de la quête ordinaire d’une notoriété vide.”
Raoul VANEIGEM, écrivain, essayiste.
À suivre..